1 juin 2011

Sodomie

Étendu sur le dos, un coussin lui soulevant les reins, il lui offrait la rose foncée de son cul en guise de récompense. Retenant ses jambes de ses bras passés derrière ses genoux, il écartait les globes musculeux de ses fesses afin de ne pas nuire à sa partenaire.

Elle prenait soin de bien lubrifier son anus à l'aide d'une substance visqueuse et douce qu'elle repêchait dans un grand vase posé près du lit. Elle y plongeait sa main droite qui en ressortait couverte de ce lubrifiant luxueux avant de l'appliquer généreusement à l'orifice de sa fleur noire et d'y enfoncer un puis deux doigts doucement de manière à lui laisser le temps de s'habituer à cette nouvelle sensation.

Il rêvait de cette récompense depuis des mois. À l'idée qu'on le déflore, sa verge prenait des proportions gigantesques et il perdait toute notion de civilité l'astiquant sauvagement jusqu'à ce qu'elle répande tout son foutre sur son ventre. C'est que, lorsque l'idée s'insinuait dans sa tête, il prenait alors position ainsi qu'il l'imaginait avant de commencer à se branler.

Elle avait pris position entre ses jambes tenant d'une main ferme cette queue de silicone rigide qui se maintenait en place grâce à un harnais de cuir noir. Elle la pointait vers le cul offert sans aucune inhibition. Elle l'avait enduit du même lubrifiant dont elle se servait précédemment rendant encore plus luisant si cela était possible le silicone noir qui l'était déjà. Alors même que la tête de cette fausse queue s'appuyait contre son anus encore serré, elle continuait de la masturber stimulant en elle-même son propre plaisir.

Elle commença alors à augmenter la pression exercée par le gland sur l'anus de son homme. Ce dernier bien lubrifié fut comme aspiré soudainement dès que la couronne du gland passa l'anneau de l'anus. C'est alors qu'elle commença son lent mouvement de va-et-vient destiné à habituer l'homme à cet intrus dans sa caverne privée.

Il serrait les dents et émettait de sourds cris gutturaux trahissant le mélange de plaisir et de souffrance qui l'habitait. Tout entier son être était concentré sur cette queue qui le transperçait sans ménagement maintenant qu'il lui était soumis en quelque sorte.

C'est alors qu'elle commença à le masturber lui prenant son phallus
dont l'érection laissait comprendre l'intensité du plaisir qu'il vivait. Accélérant son rythme, elle pompait le dard dans sa main à la même vitesse qu'elle défonçait l'anus de cet homme qui se retrouvait impuissant à subir cet assaut. Puis, sentant l'orgasme imminent, elle enfonça son gode le plus profondément possible afin de stimuler la prostate de ce dernier. Elle récupéra la semence de ce dernier dans sa main qu'elle tenait ouverte sous le gland avant de l'approcher le la bouche encore haletante de cet homme. Elle laissa lentement s'écouler le sperme chaud et visqueux dans sa bouche avant de l'embrasser goulûment.

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