28 mai 2010

Déclaration

Je voudrais que ça soit toi, mais tu m'excites tellement que ça pourrait facilement être moi. Et je te giclerais partout mon foutre chaud et épais, dans la bouche, sur ton jolie visage, dans ton cou, sur ta poitrine, partout, partout, partout. Et je n'hésiterais pas une seconde à t'embrasser immédiatement après pour que nous partagions et ta jouissance dont ma bouche est remplie et la mienne dont la tienne est remplie.

15 mai 2010

Réveil

Tu dors. À mes côtés. Tu me fais dos. J'observe avec intérêt ton flanc se soulever lentement suivant le rythme de ta respiration. Je m'approche de ta tête et je hume le parfum qui se dégage de tes cheveux. Je ferme les yeux un instant parce que je veux absolument fixer ce souvenir dans ma mémoire.

Nous sommes nus. Comme toujours. Je déteste dormir habillé et je t'ai transmis cette haine des vêtements au lit. Sous la couverture, je passe doucement ma main le long de ton bras, je descends sur tes hanches, puis tes fesses, puis ta cuisse. Je porte une attention particulière à tes réactions. Je ne voudrais surtout pas te réveiller.

Bien que je t'ai senti frissonner, tu ne t'es pas réveillé. L'odeur de tes cheveux m'enivre et je me sens d'attaque pour te prendre avec plus d'ardeur.

Je lèche mon majeur et je m'assure qu'il est bien mouillé avant de le redescendre sous la couverture jusqu'à tes fesses. Je suis lentement la faille que forme les deux superbes globes de ton cul et j'immisce subrepticement mon majeur jusqu'à la jonction inférieure de tes grandes lèvres. Je t'entends gémir, très doucement, mais tu demeures endormie. Tu rêves. C'est bon. C'est doux. C'est délicieux.

Inconsciemment, tu avances ta jambe droite légèrement ce qui me donne un meilleur accès à ta chatte. J'avance davantage ma main et mon majeur est maintenant à l'embouchure de ton vagin. J'entends ta respiration s'accélérer légèrement. Tu cambres tes reins sans t'en rendre compte. Tu dors toujours, mais je sais que d'un moment à l'autre tu te réveilleras.

Je commence un mouvement de va-et-vient très lent, très subtil, parce que je veux que tu restes endormi le plus longtemps possible. Ta chatte mouille de plus en plus. Et tu continues de te cambrer les reins davantage ce qui a pour effet d'enfoncer mon doigt encore plus creux dans ton vagin.

Et soudainement, je t'entends pousser un profond soupir. Tu te réveilles. Confuse, tu retournes ta tête et me regardes. Je t'embrasse alors sans hésiter. Tu soulèves ta jambe et tu t'empales profondément sur ma main. De mon autre main, j'empoigne tes seins. Je suis dur. Très dur. Tu te retires, te retournes et me chevauches, enfonçant ma queue dans ta chatte d'un trait.

Tu te laisses choir sur moi et m'embrasses de plus belle. Tu te frottes avec insistance t'assurant de stimuler non seulement ton vagin avec ma queue, mais surtout ton clitoris contre mon aine. Ta bouche s'est fusionnée à la mienne et je t'entends respirer par les narines avec difficulté. Mais tu refuses de te relever parce que, j'ai compris, tu vas jouir.

Ce que tu fais quelques secondes plus tard. Qu'est-ce que tu manges pour déjeuner, chérie?

Je n'ai pas encore joui…